Dans le souhait de contribuer à la réduction des cas des violences basées sur le genre dans la ville de Kinshasa, la Sofepadi avec l’appui du Fonds des Nations Unies pour la population, en collaboration avec les affaires mondiales canadiennes, a organisé une série des formations sur les outils de collecte d’informations des cas des violences basées sur le genre.
C’est en faveurs des cent organisations de la société civile féminines de différentes communes de Kinshasa, que cette formation a été organisée.
L’objectif était de combler les lacunes des OSC dans l’usage des outils de la collecte d’information (billet de référencement et contre référencement, fiche d’information générale, rapport de sensibilisation etc.).
Présentant le projet JAD ainsi que l’etat d’avancement du volet prévention des VBG à Kinshasa, Madame Annie Mbuyi, animatrice de la Sofepadi, a souligné que la ville de Kinshasa est confrontée depuis plus d’une décennie à des graves violations des droits de l’hommes, de la femme ainsi que de l’enfant, contexte qui explique le soucis de la Sofepadi, ainsi que de l’appui de UNFPA en collaboration avec les affaires mondiale canadiennes à organiser ces assises.
Les participants, personnes responsables de 100 organisations de la société civile, représentées, ont renforcé leurs capacités en deux présentations. L’une sur les outils de circuit de référencement des cas VBG et l’autre sur les outils de rapportage.
« Nous avons eu à capaciter les représentants des 100 organisations de la société civile sur le circuit de référencement et le remplissage des fiches des cas des VBG. La connaissance de participants a été évaluée grâce au test et pré-test. Nous sommes convaincus, que dans un futur proche le défi sera relevé. », a déclaré Monsieur Roger Armand Belek, Gestionnaire de la base des données à UNFPA et l’un des facilitateurs de la formation.